Je dois faire vite...D'abord parce que j'ai horreur d'être en retard, et ensuite il faut bien le reconnaître je suis un peu en manque.Je ne viens pas souvent dans cette ville, mais je savais y être cet après-midi, c'est pourquoi j'avais mis cette annonce...A ma grande surprise cela a marché, et j'avais rdv sur ce parking de magasin de bricolage....13h30...juste j'aborde le portique d'entrée et j'aperçois la vieille berline française. "Med 30ans et envie de se faire sucer..." c'est tout ce que je sais. Je gare ma voiture près de la sienne...il me regarde étonné, je pense qu'il ne croyait pas à ma venue. C'est un jeune maghrébin ... On sent qu'il se demande si ça me dérange. S'il savait qu'en fait la majorité des gens que je rencontre, je ne me souviens que de leur sexe et de la manière dont ils s'en servent...Comme convenu nous laissons là ma voiture et nous démarrons pour trouver un coin tranquille. Il est affable, il parle beaucoup...Il tourne dans plusieurs rues, mais partout c'est la ville et ses maisons presque sur le trottoir... Il avance le nez de sa voiture dans une allée un peu large qui dessert des garages. Il arrête la voiture et me regarde. "On essaye ici?"...Honnêtement je me fous qu'on me voit, mais dans cette ville, les patrouilles de police sont nombreuses et...Tant pis. "oui" Il déboucle sa ceinture et baisse le zip de son pantalon. D'un geste il dégage l'objet de notre rapprochement. Le sexe est beau, bien décalotté mais encore sage et penché sur le côté. Je prends la tige de chair bien chaude et j'ai juste le temps de la sentir durcir avant que ma bouche ne la happe...Visiblement mon jeu de langue lui plait...Elle est magnifique, fière et arquée vers le haut...il me serait impossible de la plier maintenant. Les couilles ne sont pas très grosses mais j'en fait rapidement connaissance avec ma langue. C'est un régal cette tige bien chaude dans ma bouche...Soudain sa main se crispe sur mon cou "Ya quelqu'un!" Intérieurement je pense "je m'en fous" Pas question de lâcher le morceau, pourtant je risque un oeil du côté où il regarde et je vois la dame d'une cinquantaine qui regarde dans notre direction. Je replonge pourtant et reprend de plus belle mes allées et venues. Son souffle s'accélère, mes lèvres me font un peu mal aux commissures...je sais qu'il ne se retirera plus maintenant même si il y avait plein de passants. Ca y est , ses mains s'appuient sur ma nuque, dans la crainte que je n'arrête...ses reins se soulèvent.. alors je m'applique encore un peu plus et mes doigts caressent cette zone juste sous les couilles, si sensible. Bien décidé à prouver la bonne salope que je suis, je recois le jet copieux au fond de ma gorge..je déglutie et reprend mon mouvement, en aspirant pour boire jusqu'à la dernière goutte...Il est ravi, et le dit... Moi je n'ai qu'un regret quand il me balance près de ma voiture. Celui de ne pas avoir reçu ce pieu entre les fesses.